jeudi 7 avril 2011

Petit joueur, fils de...


Norman Parckinson via onlinebrowsing
Cet été- là, je m'étais égaré un temps.
Je l'appelais à plusieurs reprises et tombais sur un boucher. J'avais compris qu'il cherchait à perdre les importuns. Un maître exige des efforts. Je l'avais finalement retrouvé par des voies dérivées.
Une appendicite m'avait cloué au lit? Qu'à cela ne tienne, le sacrifice du corps ne suffisait pas. Il me fallait alors sauver l'année écoulée.
Mon maître m'avait alors conseillé des lectures: Dostoïevski, Bataille, Sade et Ellroy.
J'avais alors lu Les Frères Karamazov, L'histoire de l'oeil, La part maudite, Le Dahlia noir et Les infortunes de la vertu.
En septembre, j'étais armé pour l'oral; après l'oral, pour la perversité.

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