Un dessin d’un homme se rasant, en 1905 (CircaSassy/Flickr/CC) |
"C'était bien gentil, ainsi que de lire les vieux livres, rester dans le bain chaud; mais, somme toute, ce n'était pas un jour délicieux, radieux, de bonheur et de joie, mais tout bonnement un de ces jours qui, depuis longtemps, me devraient être normaux et accoutumés: (...) jours où l'on se demande sans émotion, sans crainte, tranquillement, pratiquement, s'il n'est pas tant de suivre l'exemple d'Adalbert Stifter et d'avoir un accident en se rasant."
Hermann Hesse, Le loup des steppes
tout est dans le "somme toute"
RépondreSupprimerEn se rasant, c'est dégoûtant. Y aura du sang partout ! Et vu que vous serez mort, c'est encore une bonne-femme qui passera la serpillière ! Y en a marre ! D day de la femme, on a dit !
RépondreSupprimerAurait pu être un jour - Don du sang, à cette perspective, sauver assoiffé de vie ?
RépondreSupprimerPas magique, la vie à des ressources ?