Regardez les randonneurs qui crapahutent, attaquent le sentier d'un pas décidé, se retournent et vocifèrent contre les retardataires. Ils n'ont pas compris que la vitesse de la marche est toujours imposée par le plus lent d'entre eux: qu'il soit rêveur, cardiaque, grabataire...
Si selon Nietzsche, "seules les pensées qui nous viennent en marchant ont de la valeur", il nous alors marcher seul comme un fier à bras en suivant notre rythme organique.
Excellent !
RépondreSupprimerComme l'ensemble des vos communications.
Un plaisir quotidien de vous visiter.