Je vous lis discrètement (aux deux sens du terme), mais là je ne comprends pas bien : le sourire démodé de Louise Brooks, donc Cioran, d'accord, mais quid de Bioy Casarès ? C'est l'image que vous vous faites de la femme dont le narrateur s'éprend impossiblement ?
Il me semblait que ce livre de Casarès avait été écrit en hommage à Louise Brooks. Je croyais l'avoir lu? l'ai- le imaginé? Cette femme tirée d'un film muet qui accompagne le narrateur mais le prive de dialogue. Et puis j'ai pensé que Louise Brooks pouvait tenir chaud à la fois à Cioran et Casarès. A mes yeux, un joli triolisme. Votre discrétion me touche.
Je vous lis discrètement (aux deux sens du terme), mais là je ne comprends pas bien : le sourire démodé de Louise Brooks, donc Cioran, d'accord, mais quid de Bioy Casarès ?
RépondreSupprimerC'est l'image que vous vous faites de la femme dont le narrateur s'éprend impossiblement ?
Il me semblait que ce livre de Casarès avait été écrit en hommage à Louise Brooks. Je croyais l'avoir lu? l'ai- le imaginé? Cette femme tirée d'un film muet qui accompagne le narrateur mais le prive de dialogue.
RépondreSupprimerEt puis j'ai pensé que Louise Brooks pouvait tenir chaud à la fois à Cioran et Casarès. A mes yeux, un joli triolisme.
Votre discrétion me touche.