En automne, l'anse du Verger renoue avec l'espace. Le corps du promeneur respire alors les embruns, il ne sent plus la crème solaire. Les serviettes de bain bigarées ne couvrent plus une plage patchwork.
Même si la température est clémente, les familles ont sorti les couvertures. Ses membres se réchauffent de cet espace vacant. Et lors de cette balade du pauvre, ils n'ont jamais été si proches.
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