Lu dans le Télégramme le témoignage d'un breton. Son ami George Brassens aimait à séjourner dans le pays de Morlaix; il plongeait dans l'anonymat, aimait anonymement la tante dudit ami et repartait à Paris les bras chargés de boîtes de pâté Hénaff.
Et déjà dans le train du retour, les yeux embués de plaisir, il pensait au galet poli sur lequel reposerait son couteau, aux bruyères du Ménez Hom, aux embruns des Abers, aux étreintes de cette tante qui s'appellerait Fernande.
Merci pour votre billet...et
RépondreSupprimerAu plaisir de vous rencontrer peut-être un jour en ces lieux : www.caplanandco.fr .
Fred - Locquirec.
Avec plaisir
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