Aux abords du cimetière du Mont Saint Michel, un couple de japonais, la soixantaine, voyageait sourire aux lèvres sur un banc de granit.
Indifférent à l'agitation des touristes de masse en rut, il se délassait sous un frêne et ses samaranes.
Leur chute hélicoïdale apportait du mouvement à l'immobilité copulaire des deux paresseux.
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