Ivres de lecture, nourries à La guerre des Gaules
Elles guettaient la gâchette légère le moindre battement de cils,
Décidées à venir à bout d'une équipée sauvage et d'un pachyderme aristocrate,
Elles surgissaient à l'orée du bois, frappaient à revers
et broyaient les rêves de ferailles compressées.
Vive les femmes qui nous tuent !
RépondreSupprimerDu moins, Marquis, qui nous mettent en joue.
RépondreSupprimerLa passion débute lorsqu'elles appuient sur la détente, Frédéric...
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